Archives de : Laetitia Sanchez

  1. Non à l’expulsion des occupants de la ferme des Bouillons

    Nous venons de prendre connaissance d’un arrêté d’expulsion des occupants de la ferme des Bouillons, et de faire le point de la situation avec le maire de Mont-Saint-Aignan.

    Cette façon d’agir de la part d’Immochan, montre le peu de cas que cette societé fait de l’opinion de la municipalité et des habitants de Mont-Saint-Aignan. Dans cette situation, nous demandons au Préfet de surseoir à tout usage des forces de l’ordre.

    Notre groupe a réitéré ce soir auprès du Maire, sa demande que soit prise en urgence, lors du prochain conseil municipal du 23 mai, la décision d’ouvrir la procédure de révision du PLU.

    Il devient plus qu’urgent de montrer la détermination de la ville à agir.

     » Pour le groupe des élus Mont Saint Aignan Autrement, Stéphanie Taleb-Tranchard, Présidente »

  2. La transition énergétique en Haute-Normandie, c’est maintenant !

  3. Groupe Local EELV – EVREUX

    Le Groupe Local EELV d’Evreux est désormais doté d’un site internet sur lequel vous retrouverez contacts et actualités !

    https://evreux.eelv.fr/

  4. Semaine de mobilisation en solidarité avec les Syriens – Rassemblement à Rouen

    Mars 2011 – mars 2013 – Deux ans déjà sous les bombes de Bachar al Assad

    Dans le cadre de la semaine de mobilisation en solidarité avec les Syriens et de la Vague blanche internationale pour la Syrie

    EELV, Amnesty, UNEF, NPA, etc vous invitent à les rejoindre pour un

    RASSEMBLEMENT le vendredi 15 mars à 18 h 30 devant la mairie de Rouen.

    Chacun peut venir avec un papier ou un tissu blanc sur lequel inscrire le mot STOP

    Le samedi 16 mars une manifestation unitaire est également prévue à Paris – 14 h 30 – Place de la République.

    Tract à télécharger ici

    Pour en savoir plus : http://www.vagueblanchepourlasyrie.org/category/actualites/

  5. FORUM : La transition énergétique dans nos territoires, pourquoi et comment ?

    FORUM

    La transition énergétique dans nos territoires, pourquoi et comment ?

    Europe Ecologie Les Verts de Haute-Normandie et la Commission régionale ENERGIE organisent le samedi 23 mars prochain une après-midi de débats et de réflexions d’envergure régionale sur le thème de la transition énergétique, ouvert à tous les acteurs, représentants des territoires et citoyens.

    Le forum se déroule à l’Hôtel du Grand Evreux Agglomération (9 rue Voltaire – Evreux) de 14 h à 19 h en présence notamment de

    Véronique Bérégovoy, Vice Présidente EELV de la Région Haute-Normandie, en charge de l’Environnement et du Plan Climat Energie,

    Denis Baupin, Député EELV, membre du collègue des parlementaires du DNTE,

    Florent Fenault, Comité de Liaison des Energies Renouvelables (CLER), membre du collège des associations du DNTE (Débat National sur la Transition Energétique),

    Jacques Quantin, Vice-président de l’association Energie Partagée,

    Laurent Ouvrard, Enercoop (le seul distributeur d’électricité d’origine 100% renouvelable),

    Avec la participation de Michel Champredon, maire d’Evreux (sous réserve).

    Programme à télécharger ici

    Pour s’inscrire : ici

  6. Convention régionale : Quelle transition écologique en Haute-Normandie ?

    Le samedi 6 avril 2013, Europe Ecologie les verts de Haute-Normandie vous invite à la

    Convention Régionale

    « Quelle transition écologique en Haute-Normandie ? »

    Transition énergétique, déplacement et qualité de l’eau seront parmi les principaux thèmes de débats et d’échanges de cette journée, ouverte à tous.

    10h15/12h15 : LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE

    — PLÉNIÈRE – Restitution du Forum «La transition énergétique dans nos territoires, pourquoi et comment ?»

    par Véronique BEREGOVOY, Vice-présidente EELV de la Région Haute-Normandie, en charge de l’environnement et du Plan Climat-Energie

    — TABLE RONDE – Les coûts et financements de la transition énergétique

    en présence de Jean DESESSARD, Sénateur EELV de Paris

    Thomas MATAGNEPlan Bâtiment Grenelle et

    Cyrille CORMIER, Greenpeace France.

    14h00/15h45: ATELIERS

    — ATELIER 1 – Se déplacer

    – La LNPN, quelle actualité ?, avec Pierre LOUVARD, Conseiller municipal de Rouen
    – Le Contournement Est, avec Mathias ADER, Commission régionale Transports EELV
    – Rouen-Evreux par le rail, avec Gilles FRAUDIN, Commission régionale Transports EELV

    — ATELIER 2 – La qualité de l’eau en Haute-Normandie

    en présence de François VEILLERETTE, Porte-parole de Générations Futures
    – SDAGE et Directive cadre sur l’eau, avec Paul FERLIN, Expert
    – L’eau potable dans notre région, avec Pascal MAGOAROU, Vice-Président de la CREA
    – Une politique municipale de l’eau, pour un début de solution, avec Jérôme BOURLETConseiller régional EELV
    – Présentation du cas de Bolbec, avec Jean-Marc ORAIN, Groupe Local Caux Seine

    16h00/17h30 : RESTITUTION DES ATELIERS EN PLÉNIÈRE

    par Gilles FRAUDIN et François VEILLERETTE

    17h30/18h30 : PLÉNIÈRE

    avec Pascal DURAND, Secrétaire National EELV

     

    Pour télécharger le programme, c’est ici

     Pour s’inscrire : ici

     

  7. Un nouveau rapport de l’IRSN chiffre les conséquences d’un catastrophe nucléaire en France : Réaction du Secrétaire national

    Le Journal du Dimanche, dans son édition du 10 mars, révèle un rapport caché de l’IRSN – Institut de Radioprotection et de Sureté Nucléaire – d’après lequel le coût d’un accident nucléaire en France coûterait jusqu’à 5 800 milliards d’euros.

    D’après l’IRSN, une telle catastrophe conduirait, dans la pire des hypothèses, à la contamination de 850 000 km² et à l’évacuation de 5 millions de personnes, ce chiffre en lui-même – trois fois le PIB français, 30 ans de budget de l’Etat français, 2900 catastrophes AZF ou Erika… – démontre la folie du pari nucléaire et la pertinence de la revendication des écologistes sur une sortie du nucléaire.

    Pour autant, tant que la France et l’Europe entière ne seront pas sorties du nucléaire, le premier impératif est de ne pas se voiler la face, ni mentir aux populations en ignorant les risques. En France, les risques de terrorisme, de piratage informatique, de crash d’avion, d’erreur humaine, dénoncés par de nombreux experts indépendants – n’ont pas été pris en compte dans les « Evaluations Complémentaires de Sureté » commandées par le gouvernement Sarkozy après Fukushima, contrairement aux évaluations d’autres pays.

    EELV demande qu’un audit complémentaire indépendant et pluraliste soit réalisé au plus vite afin d’évaluer ces risques et les prévenir.

    Le second impératif est financier. Les centrales nucléaires françaises sont assurées par la collectivité publique à un niveau dérisoire (91,5 millions d’euro par réacteur). La France ne se relèverait pas d’un accident nucléaire. Nous demandons la constitution immédiate d’un fonds de provisionnement correspondant au coût d’un accident majeur, alimenté par l’industrie nucléaire.

    Enfin, parce que le risque nucléaire ne connait pas de frontières, parce que le système électrique est désormais européen, et parce que la divergence des politiques européennes conduit à un ralentissement de la transition énergétique et à des surcoûts, nous demandons enfin  que la question de la sûreté nucléaire devienne au plus vite une compétence de l’Union Européenne.

    Au regard de ces nouvelles informations, de la gravité des sujets et de l’urgence d’agir, EELV, outre à  la Ministre de l’écologie et de l’énergie Delphine Batho, en appelle au Président de la République, François Hollande pour impulser des mesures concrètes et imposer aux opérateurs, EDF, AREVA et la COGEMA, notamment, de les financer de manière prioritaire. Il va de notre avenir commun.

    Pascal Durand,
    Secrétaire national

  8. Convention Nationale – Economie Sociale et Solidaire : l’heure du changement d’échelle

    Samedi 6 avril 2013 – Convention nationale EELV

    Economie Sociale et Solidaire : L’heure du changement d’échelle

     

    Inscrivez-vous ici via le formulaire en ligne

     

    Téléchargez le programme ici : Programme ESS

     

    Lieu Hangar H2O – Quai Bois Guilbert – Rouen

    Programme :

    9H30 : Accueil

    10H : Introduction

    10H30: Première table ronde

    Avec la participation de Guy Hascoet, Ancien Secrétaire d’Etat à l’ ESS

    • ESS et écologie, le long chemin

    12H15 : Déjeuner

    13H45 : Ateliers 

    • Initiatives solidaires pour l’emploi

    • L’ESS, terreau d’innovation économique et sociale 

    15H : Seconde table ronde

    Avec la participation de Benoît Hamon, Ministre délégué, chargé de l’ESS

    • ESS, l’heure du changement d’échelle

    17H : Conclusion

    par Pascal Durand Secrétaire national de EELV

  9. Réforme de la PAC – Les Actes

    Actes p1En décembre 2011, la Commission Agriculture régionale d’EELV a organisé un colloque consacré à la Réforme de la PAC.

    Réforme de la PAC : impacts et propositions pour notre région
    C’est le thème du colloque qui s’est tenu le 9 décembre 2011 dans l’un des amphithéâtres de la faculté de Droit de Rouen en présence d’intervenants de haut vol et d’un auditoire diversifié : agriculteurs, étudiants, représentants associatifs, élus de plusieurs régions, universitaires… L’ouverture de ce colloque,
    organisé par Europe Ecologie – Les Verts, a été assurée par Stéphane LEFÉBURE, agriculteur bio et responsable de la Commission Agriculture d’EELV Haute-Normandie, tandis que Claude TALEB, conseiller régional EELV et Vice –Président de la Région en charge, entre autres, de l’agriculture, a clôturé les débats de la journée.
    La journée, animée par Frédéric LAMBLIN, maraîcher, Directeur de l’Association 1001 Légumes, était organisée autour de quatre temps forts :
    Présentation d’un historique de la PAC des années 60 à aujourd’hui par Régis HOCHART, expert reconnu de la politique agricole commune, représentant de la Confédération paysanne au sein du Conseil économique, social et environnemental national (CESE) et rapporteur du Rapport du CESE sur la PAC.
    Bilan de santé de la ferme haut-normande « Une évolution calquée sur les réformes successives de la PAC » par François MERLE, universitaire et agroéconomiste à l’Esitpa (école d’ingénieurs agricoles de Mont-Saint-Aignan gérée par l’assemblée permanente des Chambres d’agriculture).
    Débat autour des questions suivantes : « En 2013, quel développement rural pour les régions européennes ? Quelles propositions pour améliorer l’impact environnemental et social de la PAC ? » par Samuel FÉRET, coordinateur du groupe PAC 2013 suivi d’un zoom comparatif sur la mise en oeuvre du second pilier en Haute-Normandie par Régis HOCHART.
    Table ronde avec trois élus européen et régionaux : Estelle GRELIER, députée européenne PS, Perrine HERVÉ-GRUYER, conseillère régionale EELV de Haute-Normandie et Xavier LEFRANÇOIS, conseiller régional UMP de Haute-Normandie. Question : « Quelles propositions de nos représentants politiques face aux attentes agricoles et rurales des régions d’Europe »

    Vous en trouverez, ci-dessous, les Actes.

    → Pour consulter en ligne, c’est ici

    → Pour télécharger, c’est là : Réforme de la PAC – Actes-Déc11

  10. Le Fil Vert – Janvier 2013

    Retrouvez le dernier numéro du FIL VERT, la lettre d’information destinée aux adhérents et coopérateurs de Haute-Normandie.

    Pour adhérer, coopérer, prendre contact avec l’un de nos groupes locaux, n’hésitez pas à contacter le siège régional au 02 35 70 12 10 ou ecologie.hn@wanadoo.fr

    Pour le lire en ligne, c’est ici

    Vous pouvez également télécharger en version PDF LeFilVert-janv2013-vA4-web

  11. Chaîne humaine pour l’arrêt du nucléaire civil et militaire à Paris le 9 mars : un car pour s’y rendre au départ de la Haute-Normandie

    Chaîne humaine pour l’arrêt du nucléaire civil et militaire à Paris le 9 mars

    Le 9 mars, une chaîne humaine pour demander l’arrêt du nucléaire civil et militaire aura lieu à Paris. Ce grand rassemblement est organisé par plusieurs organisations politiques, associations et syndicats et est coordonné par Sortir du Nucléaire.

    Plus d’informations sur http://chainehumaine.org/

    Pour vous rendre à cette chaîne humaine où la mobilisation de chaque personne est importante, Le Collectif STOP EPR – Ni à Penly ni ailleurs a mis en place un transport collectif.

    Le car partira de Rouen à 10 h 30 – Retour prévu vers 20 h 30

    Rendez-vous à partir de 10 h,  devant la Cité Administrative, quai haut Jean Moulin ROUEN rive gauche

    Billet individuel : 15 €  /  Billet à tarif réduit : 5 €

    Les réservations sont à faire au plus vite auprès  du  Collectif STOP-EPR NI À PENLY NI AILLEURS 

    Renseignements : 06 70 90 37 88 _ penly@stop-epr.fr

    Merci d’avance de transmettre ce message autour de vous, dans vos réseaux.

  12. Adhérer ou coopérer

    Pour devenir adhérent ou coopérateur, il suffit de télécharger le bulletin ci-joint et de nous le retourner complété et accompagné de votre règlement à notre siège régional :

    EELV Haute-Normandie

    34/35 Quai du Havre

    76000 ROUEN

    Si vous souhaitez procéder par virement bancaire (en une ou plusieurs fois), merci de contacter le siège régional au  02 35 70 12 10 ou ecologie.hn@wanadoo.fr

    Bulletin à télécharger ici : Bulletin

  13. La Réserve Naturelle de l’Estuaire : une zone de non-droit ?

    Agression des associations de protection de l’environnement par des représentants de l’extrême chasse
    La Réserve Naturelle de l’Estuaire : une zone de non-droit ?

    Samedi 2 février, de graves incidents ont éclaté dans la réserve naturelle de l’Estuaire provoqués par des représentants de l’extrême chasse.

    Les associations de protection de l’environnement y étaient réunies pour célébrer les journées internationales de protection des zones humides, dites RAMSAR. Mais, dès le matin, les participants ont du se réfugier dans la Maison de l’Estuaire sous les insultes et intimidations d’une trentaine de représentants de l’extrême chasse, obligeant la gendarmerie à intervenir pour y mettre fin.

    L’après-midi un second groupe d’une quinzaine de représentants de l’extrême chasse, cette fois-ci cagoulés, a perturbé la tenue d’une conférence publique en lançant des œufs avant de s’enfuir. Par chance, il n’y a eu aucun blessé au cours de cette journée.

    Cependant, ces agressions ne constituent pas un acte isolé, mais s’inscrivent dans une longue liste d’incidents survenus ces dernières années : insultes, intimidation, menaces de mort, dégradation de bien public, agressions.

    A chaque fois les associations environnementales ont porté plainte et saisi les autorités publiques.

    A ce jour aucune plainte ni saisine n’a abouti.

    Nous demandons donc au Préfet de faire le nécessaire pour que soit mis un terme à ces dérapages qui transforment progressivement la réserve naturelle en zone de non-droit.

    Nous tenons également à témoigner toute notre sympathie envers les militants associatifs, victimes de ces agressions répétées.

    Alors que l’on assiste aujourd’hui à une perte rapide et irréversible de biodiversité qui inquiète les scientifiques comme les citoyens, il parait urgent de trouver des manières efficaces de préserver la faune et la flore dont nous sommes tous si dépendants. Cela implique des intensités plus ou moins grandes de protection des espaces naturels mais aussi des articulations fécondes entre les différents usagers des lieux.

    Le dialogue, parfois fructueux, pour concilier des pratiques diversifiées et inter-dépendantes est mis en péril par de tels actes qui instaurent un climat violent et non-propice à la discussion.

    Myriam TOULOUSE, Porte Parole EELV Haute-Normandie

  14. Les propositions d’EELV – Haute-Normandie au Ministre des Transports

  15. LUBRIZOL : USINE A RISQUE EN PLEIN COEUR DE VILLE

    COMMUNIQUE DE PRESSE, 22 janvier 2013

    A télécharger ici : Lubrizol – Réaction EELV

    LUBRIZOL : USINE A RISQUE EN PLEIN COEUR DE VILLE

    Le 21 janvier 2013, à partir de 8h du matin, une fuite de mercaptan sur le site de Lubrizol a eu comme conséquence de répandre une odeur extrêmement désagréable, provoquant de nombreux maux de tête et des gênes respiratoires auprès des populations du département, allant même jusqu’à Paris.
    D’après Paris-Normandie, la préfecture aurait communiqué l’information hier à 12h54, alors même que l’entreprise Lubrizol a choisi de communiquer à minima.

    Les écologistes haut-normands dénoncent cette situation surréaliste en matière de gestion des risques industriels sur notre territoire.

    Le droit à l’information !
    L’entreprise, la préfecture de Seine-Maritime et le ministère de l’Intérieur ont répété que ce dégagement était « non toxique » et que d’ailleurs on se situait en-dessous des normes… des normes de toxicité ? Est-ce aussi parce que ce n’est pas toxique que le match Rouen-Marseille est annulé ce soir ?
    Ce nouvel accident industriel fait encore une fois la preuve que la désinformation officielle est bien au coeur du problème. Beaucoup ont appris cet accident et ses conséquences par les réseaux sociaux et le bouche à oreille. D’une manière générale, qui serait vraiment capable dans la population de préciser les risques auxquels nous sommes exposés, où obtenir l’information et quelle attitude adopter en cas d’accident majeur ? Ce qui provoque angoisse, rumeur et désorganisation : les services d’urgence ont été rendus inopérationnels car saturés d’appels et des consignes contradictoires ont été données par différents organismes.

    Nous écologistes, demandons que soient systématiquement appliquées des procédures d’information établies et qu’à chaque crise soient faites des réponses claires pour mesurer la réalité du risque : pourquoi la fuite n’a pas été maitrisée avant émanation ? De quel gaz précis s’agit-il ? Quelles concentrations ont été mesurées par rapport aux normes concernées ? « Les habitants de l’agglomération doivent légitimement être informés, en toute transparence, des conséquences d’une fuite de gaz, qui se propage sur l’ensemble de l’agglomération en quelques heures, et qui
    atteint rapidement Paris et sa région. » revendique Pascal Magoarou, Vice-Président écologiste à l’environnement à la CREA.

    Le droit à la sécurité !
    Cette nouvelle fuite relance le débat de la gestion des risques industriels au travers des PPRT (Plan de prévention des risques technologiques) et de leur compatibilité avec le nécessaire développement urbain. Notre territoire est emblématique du modèle de développement économique basé sur les énergies fossiles et l’industrie chimique qui fait peser dans nos villes une menace permanente sur les habitants.
    « On ne peut négliger l’extrême fragilité des sites industriels en zone urbaine, où un accident peut survenir à tout moment. Quelle est l’efficacité des plans de prévention des risques technologiques ? » interroge Jean-Michel Bérégovoy, Co-président du groupe EELV à la ville de Rouen. « On a dénoncé, lors de l’élaboration du PPRT Lubrizol en avril 2010, la séparation du PPRT en 2 zones qui ne nous semblait pas pertinente. La délibération proposée précisait d’ailleurs que la Ville n’avait pas connaissance de tous les éléments pour décider en toute connaissance de cause. Les mesures prises pour assurer la sécurité des personnes (expropriation et sécurisation) dans les entreprises à risque en fonctionnement ici et ailleurs (71 sites Seveso sur notre agglomération) sont insuffisantes. L’usine Lubrizol est, rappelons-le, située en limite de futur écoquartier Flaubert ! ».
    Pourquoi en effet une telle surprotection des entreprises industrielles et portuaires ?
    Ce n’est en outre pas la première fuite de mercaptan chez Lubrizol. Comment est-il possible que ne soit pas remis en cause le privilège exorbitant d’un industriel qui a ainsi le « droit » de nuire à la qualité de vie et à la santé de millions d’habitants, probablement en toute impunité ? L’entreprise Lubrizol est au coeur d’enjeux économiques importants pour la zone rouennaise, où elle a choisi d’étendre ses activités industrielles au détriment du site d’Oudalle (près du Havre).

    Responsabilité publique et application des PPRT
    Au-delà de cet accident, il faut s’interroger sur une organisation qui autorise une telle concentration d’usines en zone urbaine dense, et réfléchir à la définition du risque acceptable.
    Et, sujet directement lié, il faut aussi revenir sur les moyens à disposition des communes et des habitants pour se protéger quand le risque est là, de toute façon. Car la baisse des aides prévues dans le Grenelle, de 40% à 15%, fait reporter sur les seuls habitants la totalité de la responsabilité des risques industriels, en n’ayant d’autre choix que de prendre en charge les travaux nécessaires à leur protection.
    Nous élu-es écologistes proposons, dans l’attente d’une disposition nationale obligeant les industriels à assumer leur responsabilités, de constituer un fond public d’aide aux résidents pour la réalisation des travaux prescrits dans le PPRT.

    Région Haute-Normandie

    Le président, David CORMAND,

    CREA

    Le président, Cyrille MOREAU

    Ville de Rouen

    Les co-présidents, Françoise LESCONNEC & Jean-Michel  BEREGOVOY

     

  16. Manifestons pour l’égalité !

    EELV-HN et les Jeunes Ecologistes de Rouen appellent à manifester demain en faveur de l’égalité et contre l’homophobie !

    Communiqué de presse à télécharger :  CP-EELV-JE-Mariage pour tous-janv13

    Europe Ecologie – Les Verts Haute-Normandie et les Jeunes Ecologistes de Rouen appellent toutes celles et ceux pour lesquels les mots de liberté, d’égalité et de fraternité ont un sens, à participer à la manifestation en faveur du mariage pour tous et de l’égalité des droits entre tous les couples, qui aura lieu demain

    Samedi 19 janvier à partir de 14h à Rouen
    Départ rive gauche – Cours Clémenceau.

    A l’heure où certains, mobilisés dimanche dernier, essayent de nous faire croire que leur vision traditionaliste, archaïque et intolérante de la famille est partagée par la plupart de nos concitoyen-ne-s, ce rassemblement initié par les associations LGBT Droits de Cité et Sneaker Normandie, est le moment de montrer l’engagement déterminé d’une majorité de Haut-Normand-e-s en faveur de l’égalité des droits en matière de mariage, d’adoption, de filiation et de PMA, et d’appeler le gouvernement et le Parlement à mettre en œuvre l’engagement du Président de la République.

    Alors tou-te-s ensemble contre l’homophobie, associations, organisations politiques et syndicales, élu-e-s, militant-e-s, citoyen-ne-s, il est important de faire s’exprimer demain la majorité en faveur de l’égalité des droits !

    Laetitia SANCHEZ, Secrétaire Régionale EELV Haute-Normandie

    Gilles BIA, Coordinateur du Groupe Local – Rouen – Jeunes Ecologistes de Normandie

  17. Promouvoir des pratiques agricoles plus respectueuses pour préserver nos ressources en eau potable… et nos fermes !

    Communiqué de presse – 11 janvier 2013

    Hier après-midi, Jeudi 10 janvier 2013, Véronique Moinet, militante EELV du pays de Bray, Claude Taleb, Vice-président de la Région Haute-Normandie en charge de l’Agriculture, Perrine Hervé-Gruyer, conseillère régionale déléguée à l’agriculture biologique, et Jérôme Bourlet, conseiller régional et président de la commission territoriale Seine-Aval de l’Agence de l’Eau, ont visité en compagnie de la presse locale la ferme de M. et Mme DECORDE à Bosc-Bordel, dans le canton de Buchy.

    Cette visite avait lieu dans le cadre des récents épisodes de fortes pluies qui ont concouru à rendre l’eau de plusieurs captages de Seine-Maritime turbides et donc impropres à la consommation, du fait de l’entraînement de terre par ruissellement érosif. Rappelons que depuis octobre 2012, ce sont des dizaines de milliers d’habitants du département qui ont été touchés par ce phénomène, accompagné parfois d’une contamination microbienne de l’eau du robinet.

    La Seine-Maritime, chaque année pointée du doigt dans les médias nationaux, est… le seul département français où l’on est incapable de délivrer une eau potable  aux abonnés dès qu’il pleut un peu trop !

    Cette visite avait pour but de témoigner que des pratiques agricoles simples permettent pourtant de stopper ce ruissellement érosif, et d’arrêter les pollutions aux nitrates et aux pesticides, et sont donc non seulement compatibles avec la conservation et même la restauration de la qualité de l’eau des nappes phréatiques, mais aussi avec la restauration de la compétitivité des exploitations.

    La ferme de la Fosse à l’eau est ainsi une exploitation de 85 hectares (dont 80% en prairies) dédiés à l’élevage de vaches laitières. En conversion bio depuis 3 ans, l’exploitation contient également un atelier de transformation du lait en produits tels que beurre, crème, yaourts, gâteaux de riz, etc. Au-delà de l’impact très positif de cette conversion en termes de préservation des ressources locales (eau, biodiversité, sols…), M. Decorde n’a pas manqué de souligner que le passage en bio lui a sans doute permis de sauvegarder une exploitation et une ferme mises en péril par la crise du lait de 2008. Le passage en bio, la création de l’atelier de transformation et la vente directe dans le magasin créé à la ferme, et sur les marchés, lui ont depuis permis de créer 2 emplois nouveaux et d’accueillir un apprenti.

    Perrine Hervé-Gruyer, Conseillère régionale

    Véronique Moinet, EELV –Pays de Bray

    Laetitia Sanchez, Secrétaire régionale EELV-HN

    Claude Taleb, VP Agriculture du Conseil régional de Haute-Normandie

    Jérôme Bourlet, Président de la commission territoriale Seine-Aval de l’Agence de l’eau

    Ce communiqué de presse est disponible en pdf : Compresse11012013_VisiteFerme2

    Pour plus d’information sur la pollution de l’eau potable en Haute-Normandie, voir la note de synthèse ici

  18. Pollution de l’eau du robinet en Seine-Maritime : Contexte et enjeux

    Le manque de couverture hivernale des sols agricoles et le retournement de nombreux herbages pour y semer des céréales, dont les cours mondiaux sont au plus haut, ont eu pour effet, depuis le début de la période pluvieuse qui a commencé en octobre 2012, de rendre l’eau de plusieurs captages de Seine-Maritime turbides donc impropres à la consommation, du fait de l’entraînement de terre par ruissellement érosif. Depuis octobre, ce sont des dizaines de milliers d’habitants du département qui ont été touchés par ce phénomène, qui peut être accompagné d’une contamination microbienne de l’eau du robinet1. De l’eau en bouteille est distribuée à la population concernée. La Seine-Maritime, chaque année pointée du doigt dans les médias nationaux, est le seul département français où l’on est incapable de délivrer une eau potable aux abonnés dès qu’il pleut un peu trop.

    De façon plus régulière mais aussi inéluctable, les cultures intensives de céréales, de colza pour la fabrication de carburants, ou de pommes de terre industrielles, sont les principaux responsables de la contamination généralisée des captages d’eau potable par les nitrates et pesticides. Ainsi en 2011 en Seine-Maritime, 339 000 habitants, soit près de 30% de la population, ont été desservis par une eau dépassant la norme en pesticides2. C’est trois fois plus qu’en 2010 ! La population n’est en général pas ou mal informée de ces dépassements.

    Même si les rejets agricoles ne sont pas seuls à polluer l’eau, même si dans certains secteurs comme à Bolbec ou à Montville, des pollutions d’origine industrielle affectent gravement les ressources en eau, le principal responsable de la pollution des eaux de Haute-Normandie est, comme dans d’autres régions, l’agriculture.

    Comment en est-on arrivé là ?

    Pourquoi les captages d’eau destinée à l’alimentation humaine

    ne sont-ils pas mieux protégés ?

    La loi sur l’eau de 1964 a instauré l’obligation de définir des périmètres de protection autour des captages, dans lesquels des restrictions doivent être prescrites, mais les pollutions diffuses d’origine agricole n’y sont pas traitées3. Seuls quelques arrêtés de périmètres prescrivent l’interdiction de retourner des herbages dans le périmètre rapproché. Aucun arrêté ne limite ou n’interdit l’épandage de pesticides dans ces périmètres de protection.

    Pour pallier à cette manifeste insuffisance de protection des captages vis-à-vis des pollutions agricoles, l’article 21 de la loi sur l’eau de 2006 a introduit la possibilité de délimiter des zones plus vastes, dans les bassins d’alimentation des captages les plus préoccupants,et d’y établir desplans d’actions pour limiter les rejets de nitrates et pesticides. C’est la démarche dite ZSCE (zones soumises à contraintes environnementales) : les agriculteurs qui exploitent des terres dans ces zones ont, sur la base duvolontariat, 3 ans pour mettre en œuvre les actions du plan d’actions, qui peuvent ensuite devenir obligatoires si la mise en œuvre volontaire est jugée insuffisante par le préfet. Au titre de laloi Grenelle, 500 captages ont ainsi été identifiés en France en 2009 pour y appliquer la démarche ZSCE. Ce sont les captages les plus contaminés par les nitrates et pesticides et desservant une population importante. Il y en a 12 en Seine-Maritime et 10 dans l’Eure. La loi Grenelle donnait jusqu’au printemps 2012 pour établir les plans d’actions.

    Qu’en est-il en janvier 2013 ? En Haute-Normandie, même si toutes les études sont lancées,aucun plan d’action n’est élaboré, alors que les financements publics existent pour aider les agriculteurs qui veulent changer de pratiques (maintien des herbages, remise en herbe, plantation de haies, développement de l’agriculture biologique, etc.) Le buveur d’eau attendracar ce sont en général des secteurs oùl’eau distribuée dépasse les normes en nitrates et/ou pesticides,à moins que la collectivité en charge de la production et de la distribution de l’eau ne réalise la décontamination de l’eau avant distribution, coûteux investissements payés par le consommateur selon le fameux principe… « pollué-payeur » !

    Rappelons en effet que les agriculteurs ne contribuent qu’à hauteur de 2% de la redevance eau (le reste est pris en charge par les industriels et usagers). En comparaison le seul coût des traitements liés aux pesticides représente 10% du coût global de traitement. La stratégie française du curatif choisie jusqu’à présent est une impasse financière menant à une augmentation constante du prix de l’eau et à la fermeture des captages d’eau. D’autres pays, tels le Danemark ou l’Allemagne ont démontré que l’on pouvait par des mesures préventives réduire très fortement les pollutions (-30% en dix ans) tout en divisant par 2,5 le coût global d’accès à l’eau.

    Pour l’instant ce n’est pas le chemin pris en France puisquela directive européenne sur les nitrates d’origine agricole, dite directive nitrates, destinée à diminuer la pollution de l’eau par les nitrates, qui date de 1991, est mal appliquée. De ce fait,un contentieux est en cours avec la Commission européenne (http://europa.eu/rapid/press-release_IP-12-170_fr.htm), pouvant déboucher sur de lourdes sanctions financières. L’obligation decouverture automnale des solsà la fin 2012, n’est manifestement pas respectée dans notre région. Et un nouveau programme d’actions, destiné à se conformer aux demandes bruxelloises, agite la profession agricole. Le stockage des lisiers et fumiers à la ferme doit être d’au moins 6 mois, car on ne peut pas l’épandre quand il gèle, ou quand il pleut, sous peine de polluer là aussi les captages. Le refus de l’extension de la durée de stockage est l’objet principal de la mobilisation agricole actuelle.

    Il est urgent d’agir positivement

    Les solutions pour une agriculture plus respectueuse de l’environnement sont connues. Les financements pour accompagner cette mutation dans les bassins d’alimentation des captages existent, notamment avec les aides de l’Agence de l’eau. Il manque seulement, de la part de l’Etat, des collectivités chargées de la production et de la distribution d’eau, et surtout du monde agricole, la volonté d’agir.

    Plutôt que de vivre la protection de l’environnement comme une contrainte, plutôt que de rejeter en bloc le changement, tous les acteurs concernés doivent trouver ensemble le compromis entre une agriculture durable et la préservation de la ressource en eau potable, et rapidement le mettre en œuvre. C’est une obligation réglementaire. C’est surtout un enjeu de santé publique.

    3En 2011, soit 47 ans après la loi fixant l’obligation, 30% des 253 captages de Seine-Maritime n’avaient toujours pas défini leurs périmètres de protection et les restrictions à y appliquer. Voir page 2 du bilan 2010 de l’ARS : http://www.ars.haute-normandie.sante.fr/uploads/media/Bilan_AEP_2010_01.pdf
    Cette note de synthèse est téléchargeable Note08012013_pollutionEauHN
    Communiqué de presse disponible ici : CP

  19. 2013

    2012 s’est achevée. Ce fut une année dense, une année riche en actions sur le terrain, avec des débats, des interrogations, des déceptions aussi, du courage toujours.

    Le courage de porter partout la voix de l’écologie. Le courage de battre le pavé et le bocage, le courage de faire entendre notre voix dans des lieux où nous sommes minoritaires. C’est  souvent rude.

    Nous avons battu le terrain pendant les campagnes présidentielle et législatives. Nous nous sommes levés lorsqu’il a fallu s’opposer à des projets inutiles, qui datent du siècle dernier, et menacent l’équilibre vital de nos écosystèmes, des terres qui ont vocation à nous nourrir, pas à être bétonnées.

    Les écologistes sont présents ici, pour proposer des solutions alternatives aux projets de bétonnage comme la liaison A28-A13 ; la LNPN dans sa version à 12 milliards ; la plateforme logistique « de camion à camion » de Pitres-Le Manoir ; l’extension du port du Havre à la zone humide de l’estuaire de la Seine ; la vente d’une ferme péri urbaine au groupe Immochan à Mont Saint-Aignan.

    Les écologistes sont toujours présents aussi sur les questions de santé et de sécurité publiques : le nucléaire dont on sait maintenant, avec l’explosion du coût de l’EPR, que c’est l’énergie la plus chère du monde, et surtout la plus dangereuse. Sur la qualité de l’eau et de l’air : à Bolbec, à Rouen, au Havre, nous sommes vigilants et actifs sur ces questions, que nous contribuons à mettre dans le débat public.

    Sur la question du logement, comme sur les transports, nous prônons des solutions qui préservent et les territoires, et le pouvoir d’achat des particuliers, tout en engageant la nécessaire transition énergétique. En prenant des mesures contre le gaspillage et la précarité énergétiques, en réclamant l’encadrement des loyers et la réquisition des logements vacants, nous croyons que Cécile Duflot agit dans l’intérêt collectif, et pour l’écologie.

    Et puis il y a Notre-Dame des Landes. Tous les combats locaux des écologistes, que nous avons cités précédemment, y trouvent une illustration emblématique. Aux côtés des camarades qui défendent la ZAD, des agriculteurs, des habitants, nous sommes déterminés, nous ne lâchons rien. Nous le répétons : ce projet d’aéroport vieux de 50 ans n’est en rien une réponse adaptée aux besoins d’aujourd’hui. Il ne répond ni à la nécessité de préserver la qualité de l’eau, des zones humides, des terres agricoles, ni aux enjeux de la transition énergétique.

    Les collectivités doivent aujourd’hui adapter leur politique de déplacements, dans l’intérêt du plus grand nombre, et en tenant comte de la raréfaction des énergies fossiles. C’est ce qu’a fait par exemple dès 2004, une région comme Rhône Alpes, forte de ses 37 élus écologistes, en actant collectivement de ne plus soutenir les infrastructures routières et les installations aéroportuaires. Cette décision a permis de dégager des crédits importants pour promouvoir les transports en commun et les modes doux de déplacement.

    Sur tous ces dossiers, notre force tient dans l’action, conjointe et complémentaire, des militants et des élus. Nous devons nous appuyer les uns sur les autres, nous épauler : c’est cette énergie conjointe qui donne de la portée à nos paroles et à nos actes, dans les institutions et au dehors. Ne perdons pas cette force unique. Cultivons-la. Repoussons les murs, ouvrons les portes, écoutons-nous, entendons-nous : nous parlerons plus fort, ensemble.

    Continuons, en 2013 comme en 2012, à agir sur tous les fronts de l’action écologiste. Sur le terrain et dans les instances, dans les débats publics, dans tous les réseaux, répondons : « Présents ! »

    Je remercie chacune, chacun, de la pierre qu’elle ou il apporte à cette action collective : localement, sur le terrain, dans les associations, dans tous les réseaux, dans les collectivités, ou encore dans les commissions régionales où s’élaborent nos prises de position.

    Le mouvement est fort de l’engagement de chacune et chacun d’entre vous. Le mouvement, c’est vous !

    Avec le bureau régional, nous sommes là pour soutenir vos initiatives, et mettre à votre disposition la logistique dont vous avez besoin. Soyez visibles, agissez localement, c’est la base de l’action politique. C’est le moyen aussi de vous faire connaître dans la perspective des municipales de 2014 : de constituer un projet, une liste, qui permettent de mettre en application les idées écologistes.

    Pensons global, agissons local : c’est le moment de mettre cette devise en actes !

    Nous comptons sur vous.

    Comptez sur nous.

    Je vous souhaite une année 2013 riche en projets et en accomplissements.

    Mes amitiés,

    Laetitia Sanchez

    secrétaire régionale EELV de Haute-Normandie

  20. Le groupe local de Vernon se mobilise contre NDDL

    Communiqué de presse du 5 novembre 2012 :

    NOTRE DAME DES LANDES

    Non à l’utilisation de la force, Non à l’aéroport

    Les évènements se sont accélérés autour du projet d’aéroport de Notre Dame des Landes .

    Sur le terrain, les opposants, parmi lesquels les élus et militants locaux d’ Europe Ecologie Les Verts sont confrontés à un déploiement de forces policières et à une répression hors de proportion.

    Malgré plusieurs recours juridiques toujours en cours, malgré les réserves exprimées par la commission d’enquête relative à l’application de la loi sur l’eau, les promoteurs du projet s’obstinent.

    Dans un tract, signé conjointement par EELV Haute-Normandie, Greenpeace, Climate Justice Now !, L’Arbre, Stop EPR, il est rappelé :

    « Dans un contexte de raréfaction du pétrole, de disparition de terres agricoles et humides, de restrictions budgétaires et de nécessaire lutte contre le changement climatique, un 137 ème aéroport en France est une aberration. 

    Car rien ne justifie ce projet : il existe déjà un aéroport à Nantes. C’est d’ailleurs un des mieux classés d’Europe. Il est très loin d’atteindre saturation et de simples aménagements, bien moins coûteux que le déménagement, permettraient de résoudre les problèmes de bruit et de survol des habitations.

    L’urgence, à la fois climatique et économique, exige au contraire de préparer une société de l’après pétrole où la place de l’avion sera nécessairement décroissante.

    Enfin, la question de la production de nourriture pour les 9 milliards d’êtres humains que comptera la planète demain est de plus en plus pressante, il est inadmissible de faire disparaître ainsi 2000 hectares de terres agricoles ».

    Aux côtés de l’ensemble des opposants au projet, EELV appelle à la grande manifestation nationale du 17 novembre 2012 à Notre Dame des Landes.

    Afin d’étendre la mobilisation, nous appelons dès maintenant à initier des comités locaux de solidarité et de lutte NDDL, en lien avec l’ensemble des forces politiques et sociales s’opposant au projet.

    Groupe Local EELV Vexin/Seine.

    Pétition en ligne : http://www.aeroport-nonmerci.fr/

  21. Le Département de Seine-Maritime réduit sa politique de solidarité

    Le Département de Seine-Maritime réduit sa politique de solidarité

    Le mardi 18 décembre 2012, le président socialiste du département de Seine-Maritime va présenter à l’assemblée départementale le budget primitif de l’année 2013.
    Il y est prévu de baisser de 50% le budget alloué à la prévention spécialisée, ce qui est surprenant pour une institution gouvernée par une alliance PS-PCF.

    Les « éducateurs de rue », qui vont à la rencontre des publics les plus marginalisés, quand les autres institutions éducatives ou sociales ont été mises en échec, sont bien souvent le dernier rempart avant le décrochage scolaire ou l’exclusion. Ils font partie intégrante de la politique sociale du département.
    Alors que le Président de la république, François Hollande, a fait de la jeunesse sa priorité, en nommant par ailleurs Valérie Fourneyron, ancienne Conseillère générale de Seine-Maritime, Ministre des sports et de la jeunesse, Didier Marie déciderait de réduire la politique sociale du département en direction des jeunes et des familles des quartiers populaires ?!

    Cette décision, que nous ne pouvons pas accepter, aurait de plus comme conséquence d’envoyer au chômage plus de 70 travailleurs sociaux, dans un secteur déjà bien fragilisé.

    Lors des dernières élections cantonales, les candidats écologistes mais aussi le parti socialiste n’ont eu de cesse de demander à l’état le remboursement des sommes dues à notre département. Cette demande légitime est toujours d’actualité.

    Les écologistes demandent à Didier Marie de maintenir les financements en direction de la prévention spécialisée, qui représentent par ailleurs 0,5% du budget de la solidarité.
    La gauche ne peut pas réduire sa politique sociale, en direction des jeunes et des familles des quartiers populaires, dans cette période de crise économique et sociale. Elle doit assumer sa volonté de solidarité.
    Nous demandons aux Conseillers Généraux socialistes de nous appuyer dans cette démarche, afin d’être en cohérence avec les discours qu’ils ont tenus lors des dernières cantonales.
    Stéphane MARTOT
    Secrétaire du Groupe Local EELV – Rouen
    Françoise LESCONNEC et Jean-Michel BEREGOVOY
    Co-présidents du Groupe des Elu-e-s EELV de Rouen

  22. M’REAL : Une relance du site exemplaire

    Le département de l’Eure a apporté une réponse d’espoir pour les habitants et habitantes de notre bassin de vie. A terme, ce sont plus de trois cents emplois qui seront sauvés ou créés.

    Il y a quatre ans, les premiers signaux de fin d’activité étaient lancés. Pourtant, les solutions les plus novatrices, qui intégraient une conversion écologique du site, étaient balayées d’un revers de main par un industriel qui n’avait plus qu’une vue financière.

    Restait la conviction du collectif de soutien, intégrant les représentants syndicaux, toutes les forces de gauche (NPA, Front de gauche, PS, EELV), les maires des communes voisines, des représentants du CG27 et du Conseil Régional de Haute-Normandie pour s’opposer à ce que certains disaient dépassé et inutile et « ne valant pas un kopeck ! ».

    L’union a fait la force. Quand M. Lemaire voulait ramener la couverture médiatique sur lui,  il en oubliait la puissance du travail d’équipe. Les acteurs du collectif ont agi dans la durée et la complémentarité de leurs compétences. Merci, grand merci à tous. Nous avons tous montré que « c’était, c’est et ce sera possible ! »

    Nous pouvons être fiers d’un projet qui intègre de la fabrication de papier, et qui produira de l’électricité provenant de la combustion de biomasse.

    Les écologistes demandent encore au gouvernement de revoir le prix d’achat du Kwh produit. Nous rendrons la filière pérenne. Plutôt que d’investir dans un nucléaire sans avenir et horriblement cher. La nouvelle hausse spectaculaire du prix de l’EPR de Flamenville vient encore le prouver.

    Continuons dans la voie tracée : Mettons en place les moyens de l’unité de désencrage  et structurons la filière du papier recyclé en France.  Donnons-nous les moyens de refaire de la pate à papier. Au cours de son élaboration, nous pourrons fournir des agrocarburants, qui pourront être raffinés sur le site de Pétroplus.

    Un port fluvial  tourné vers la biomasse peut alimenter notre région, et la région ile de France.

    Décidons de lancer les travaux dès maintenant. Nous réduirons ainsi notre dépendance aux énergies fossiles. Comme le disaient M.Deshayes  et L.Sanchez, les candidates écologistes aux élections cantonales et législatives.

    Les écologistes ont toujours eu confiance en l’avenir du site.  Et ont participé activement, comme l’a fait Jérôme.Bourlet, conseiller régional et président du SCoT  Seine-Eure – Forêt de Bord. Ne jamais dire que M’Real était « fini » : voila la ligne qui a été la nôtre.

    Les écologistes sont pour l’industrie. Une industrie viable qui intègre la transition écologique et énergétique.  C’est et ce sera porteur d’emplois. Une industrie à la base de l’économie verte.

    Groupe EELV Eure-Seine

     

  23. Les élus écologistes hauts-normands s’adressent aux représentants du parti socialiste au sujet de Notre-Dame des Landes

    Si le projet de nouvel aéroport nantais n’est pas normand, il interpelle tous les écologistes par son décalage avec les enjeux du XXIème siècle (changement climatique ; raréfaction du pétrole ; protection de l’eau, de la biodiversité et des terres agricoles). Sur le terrain, dans les comités de soutien, nous sommes présents depuis le début.

    Face à la dégradation rapide de la situation, nous avons pris la décision de porter ce sujet sur le terrain institutionnel, en appuyant la demande d’une médiation auprès du PS régional, et en réclamant un premier geste fort d’apaisement : l’arrêt immédiat des opérations policières sur le terrain.

    Soulignons que tous les recours juridiques menés contre le projet d’aéroport ne sont pas arrivés à leur terme : en France, au titre de la loi sur l’eau, et auprès des institutions européennes, au titre de quatre directives (Incidences sur l’environnement, Eau, Oiseaux, et Habitats). En effet, l’implantation du nouvel aéroport se ferait presque intégralement sur des zones humides, haut-lieu de biodiversité, essentielles pour la préservation de la qualité de la ressource en eau, et qui constituent  des terres fertiles nécessaires à notre avenir.

    Une ouverture des discussions sur la pertinence actuelle de ce projet vieux de 40 ans est nécessaire. La commission de dialogue annoncée par le Premier ministre ne peut pas considérer l’opportunité d’un tel équipement comme une chose acquise, mais bien comme un sujet de débat – à l’heure même où le gouvernement entreprend une redéfinition du Schéma National des Infrastructures de Transport (SNIT).

    Au-delà du cumul des crises, il convient aujourd’hui d’accompagner nos concitoyens dans une véritable mutation de société. Nous sommes convaincus que la gauche unie, dans sa diversité, peut relever ces défis. Cette réussite est rendue aujourd’hui d’autant plus nécessaire que la grave crise de la droite républicaine affaiblit la crédibilité de la démocratie dans son ensemble.

    Lire le courrier des élus écologistes aux élus socialistes.

    Lire le communiqué de presse du groupe local de Rouen.

    Lire les documents de la conférence de presse du 27 novembre.

    Et dans d’autres régions…

  24. Aéroport de Notre Dame des Landes – Réaction

    Europe Ecologie Les Verts appelle à la poursuite de la mobilisation contre ce projet inutile qui dilapide l’argent public et détruit des écosystèmes naturels et des terres fertiles.

    Nous appelons celles et ceux qui se battent partout contre d’autres «grands projets inutiles» à se mobiliser et à rejoindre ce rassemblement le 17 novembre à Notre-Dame-des-Landes.
    Par leur présence, les secrétaires régionaux tiennent à témoigner de l’ampleur de la mobilisation, dans leurs régions, des militant-e-s écologistes dont ils/elles sont les représentant-e-s.
    Ils/elles soulignent aussi que cette lutte dépasse largement le cadre régional et mobilise massivement dans toutes les régions et dans tous les groupes locaux.

    En Haute-Normandie, Europe Ecologie les Verts donne rendez-vous le samedi 17 novembre

     à Rouen avec le Collectif de solidarité Zones à Défendre – Rouen / Notre-Dame-Des-Landes
    RV à 14 h devant la Gare,
     au Havre avec le Collectif NDDL – Le Havre
    RV à 14 h 30 sur le parvis sud de l’espace Coty au Havre,

    Et appelle à participer à la manifestation nationale qui aura lieu le samedi 17 novembre 2012 à Notre-Dame-des-Landes (Loire Atlantique).

    Les Secrétaires Régionaux/ales d’Europe Ecologie Les Verts

    Pour la Haute-Normandie,
    Laetitia SANCHEZ, Secrétaire régionale

    Réaction d’Europe Écologie Les Verts de Haute-Normandie suite à l’agression d’un agent de sécurité

    Suite à l’agression d’un agent de sécurité chargé de surveiller une maison près du site du projet d’aéroport de Nantes à Notre-Dame-des-Landes le 13 novembre dernier, Europe Écologie Les Verts de Haute-Normandie adresse ses premières pensées au salarié victime de cette agression et à ses proches. Nous dénonçons, comme nous l’avons toujours fait, tout acte de violence.

    En attendant les éléments plus précis de l’enquête, nous tenons à réaffirmer que personne ne devrait être victime de la situation de violence extrême qui s’est installée à Notre-Dame-des-Landes, et en particulier aucun des salariés amenés à être sur place dans le cadre de leur travail.
    Cet événement ne nous empêchera néanmoins pas de continuer à défendre notre opposition au projet d’aéroport dans les institutions et en justice, y compris sur place samedi 17 novembre où nous serons présents en nombre pour une manifestation non-violente.

    Myriam TOULOUSE,
    Porte parole Europe Écologie Les Verts Haute-Normandie

    Communiqué de presse à télécharger ici : CP-EELV-NDDL-15nov

  25. Un plan d’urgence en faveur des transports collectifs pour les plateaux Est !

    Après l’accident du Pont Mathilde, heureusement sans conséquences humaines graves, les écologistes des plateaux Est interpellent les décideurs publics pour qu’un plan d’urgence soit mis en place dans les 10 jours, afin de garantir la continuité des activités des populations de l’agglomération.

    EELV Plateaux Est se félicite que les propositions des écologistes, formulées depuis de nombreuses années et réitérés en septembre 2011 soient mises en œuvre par le Préfet dans le nouveau plan de circulation. Comme nous le demandions, elles permettent de détourner le trafic de poids lourds empruntant la D6014 (ex RN14) à partir de Franqueville Saint Pierre1.
    Par ailleurs, la continuité des trafics de transit A28-A13 est désormais assurée par l’ouest de l’agglomération.

    Ces dispositions préfectorales mises en place depuis dix jours ne suffisent pas à rétablir la fluidité du trafic vers Rouen. Cela confirme que l’essentiel des encombrements est lié aux trajets domicile-travail en voiture individuelle. Ce constat est confirmé par les grands élus de l’agglomération.
    La solution est donc à chercher dans les modes de transport collectif tels que les bus à haut niveau de service (fréquence élevée, avec cadencement et amplitudes horaires adaptées à la vie moderne, trajets directs vers les centres urbains et sur des parcours réservés).
    Il est en effet louable de demander à nos concitoyen-ne-s de faire preuve de civisme en utilisant les transports collectifs. Encore faudrait-il que le service soit à la hauteur des besoins et de la qualité attendue !

    Faute de disposer d’une ossature de transports en commun digne d’une agglomération comme la CREA, il nous semble indispensable d’apporter une solution d’urgence à l’ensemble des populations des plateaux Est.

    Nous demandons aux autorités compétentes de déclencher un plan de type « Armada » en faveur des transports collectifs :
    • Un tarif préférentiel pendant la période « de crise », pour inciter nos concitoyen-ne-s à utiliser ces transports en commun.
    • La mise en place d’un plan similaire à celui mis en œuvre pendant l’Armada pour les parkings relais en entrées d’agglomération.
    • La création de trois lignes de bus à haut niveau de service, c’est-à-dire en site propre – hors bouchons – partout où c’est immédiatement possible ; avec une fréquence toutes les 10 à 15 minutes et plages horaires adaptées :
    – depuis Boos (en utilisant le parking de l’aéroport comme parking relais) desservant Franqueville et descendant
    à Darnétal via St-Léger-du-Bourg-Denis et assurant ainsi l’interconnexion avec le TEOR,
    – depuis Tourville-la-Rivière sur la RD 6015 jusqu’à Rouen. Le pôle métropolitain devrait être à la manœuvre
    pour la mettre en place…
    – sur la RN31 vers le cœur de Rouen (terminus vers la gare routière ou SNCF).
    • Le renforcement immédiat de la ligne TER Serqueux / Buchy /Morgny / la Pommeraie / Rouen. Ceci permettra notamment de capter le trafic automobile de la vallée de l’Andelle qui transite par la RN31 et la RD 6014.

    Sur cette même ligne TER, il faut, dans un délai très court, rouvrir la gare SNCF de Darnétal, son parking relais et compléter la desserte TEOR jusqu’à cette gare.

    Enfin, pour éviter le trafic envahissant des camions de la « route du blé » sur la RN31, il apparaît indispensable de remettre en usage le transport des céréales par train (par exemple, depuis les silos à grains en bord de voie ferrée à Vieux-Manoir).

    Nous appelons les grandes administrations et tous les employeurs des grandes entreprises à mettre en place en concertation avec les salariés, des mesures d’aménagement d’horaire pour étaler les pointes de trafic.
    Afin d’évaluer l’efficacité des mesures mises en place et de les adapter si besoin, nous demandons que l’Etat réalise des mesures de trafics très régulièrement.
    Nous souhaitons que celles-ci soient rendues publiques pour permettre un échange constructif avec la population.

    1 Vers la RD 95, puis la D6015 (ex RN15) puis l’autoroute A13.

    EELV – Groupe Local du Plateau Est – Cantons de Boos et Darnétal

    Communiqué de presse à télécharger ici : CP-EELV-Plan d’urgence-PlateauEst-nov12

  26. Aéroport Notre-Dame des Landes : la violence doit cesser

     

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    Communiqué de presse du 30 octobre 2012

    Alors que l’État poursuit avec violence ce qu’il appelle une opération de « nettoyage » sur le site de Notre-Dame-des-Landes, Europe Écologie Les Verts exige l’arrêt immédiat des opérations de destructions en cours et appelle au retour à la raison. L’avis de la commission d’enquête paru vendredi dernier est en fait un véritable coup d’arrêt au projet.

    EELV condamne l’évacuation de personnes, la destruction de maisons, la dégradation de cultures et les atteintes à l’environnement. L’entêtement irraisonné du gouvernement à poursuivre cette démonstration de force ne pouvait que produire l’escalade de violence à laquelle nous assistons et qui a ce matin encore provoqué des blessés.

    La Commission d’enquête interdit le démarrage des travaux

    Pour qui sait le lire, l’« avis favorable » de la Commission d’enquête en charge de l’examen des dossiers d’autorisation relatifs à la Loi sur l’Eau porte en fait un véritable coup d’arrêt au projet de nouvel aéroport. La Commission a en effet émis deux réserves de taille à la poursuite des procédures, et demande expressément que les travaux ne commencent pas avant que celles-ci n’aient été levées.

    La première réserve concerne la méthodologie proposée pour compenser les préjudices écologiques générés par la construction du nouvel aéroport. La Commission d’enquête souligne son caractère « très expérimental » et demande qu’un comité scientifique puisse étudier de près ce qui est proposé par le maître d’ouvrage.

    La seconde réserve met le doigt sur l’absence de maîtrise foncière des porteurs de projet : sans un accord clair avec la profession agricole, elle souligne qu’aucune garantie n’est apportée à la mise en œuvre  des mesures compensatoires annoncées.

    Et la Commission d’enquête insiste sur l’urgence de lever ces deux réserves avant le début des travaux, qui entraineraient des dommages irréversibles.

    Un passage en force

    Pour Europe Écologie Les Verts, l’avis de la Commission d’enquête doit ouvrir les yeux aux porteurs du projet. L’État doit cesser immédiatement les destructions en cours, qui créent la situation irréversible que craint la Commission d’enquête, dans un processus de passage en force mis au service d’un projet inacceptable.

    Assuré que les réserves émises par la Commission d’enquête ne pourront être levées dans la situation actuelle, Europe Écologie Les Verts lance un appel à la raison et à la réflexion collective sur un projet alternatif et sensé !

    Appel à une grande mobilisation de terrain

    D’ores et déjà, Europe Écologie Les Verts appelle à la poursuite de la mobilisation contre ce projet inutile sur le terrain et invite toutes les organisations associatives, syndicales et partis politiques à s’unir pour une action de plus grande ampleur.

    Elise LOWY, Jean-Philippe MAGNEN, Porte-parole

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